LES HORMONES BIO-IDENTIQUES LES HORMONES BIO-IDENTIQUES sont le traitement alternatif des déséquilibres
hormonaux et des troubles de la ménopause : Des hormones naturelles à la place du
traitement synthétique de substitution hormonale. En général, quand on parle de traitement hormonal de substitution, on parle donc d’un traitement médicamenteux
n’ayant rien à voir avec les hormones naturelles de notre corps humain.
LES HORMONES BIO-IDENTIQUES sont d’origine végétale, transformées en laboratoire en hormone ayant la structure naturelle exacte du corps humain, et sont un traitement
efficace en cas d’irrégularités du cycle, de syndrome prémenstruel, de la ménopause, et bien d’autres symptômes d’un déséquilibre hormonal.
LES HORMONES BIO-IDENTIQUES sont prescrites après une anamnèse détaillée des symptômes et du style de vie, un examen somatique et des tests hormonaux effectués
LES HORMONES BIO-IDENTIQUES sont ainsi dosées individuellement selon les symptômes et le status hormonal de chaque femme et administrées de préférence sous
forme de crème ou gel par la peau. Cette application transcutanée permet à ces
molécules lipophiles de pénétrer rapidement dans la circulation sanguine, même si on
utilise des très petites quantités physiologiques. En général trois à six mois après le début du traitement a lieu une évaluation clinique avec des nouveaux tests hormonaux
et une adaptation du dosage si nécessaire.
EFFICACITE SANS EFFECTS SECONDAIRES : Nous sommes tellement habitués aux effets secondaires des médicaments (dont le traitement hormonal de substitution synthétique)
qu’il est difficile d’imaginer que des traitements efficaces sans effets secondaires – si on
les utilise correctement - existent ! En fait un tel traitement d’origine végétale est bel et
bien disponible sous forme d’hormones naturelles ou bioidentiques. Fabriquées sur la base de diosgénine extraite de la racine d’igname méxicaine ou du soja, ces hormones
naturelles ont exactement la structure moléculaire des hormones du corps humain ; ces
« clés » sont donc parfaitement adaptées à leurs « serrures », donc aux récepteurs
hormonaux dans notre corps. Depuis la publication des résultats de l’étude américaine « Women’s Health Initiative »
(WHI) et l’étude britannique « Million Women Study » au début des années 2000, il est
compréhensible que beaucoup de femmes ont peur de « prendre des hormones ». Ses
études ont en effet été interrompues suite à l’observation de risques augmentés pour les accidents vasculaires, les infarctus du myocarde et le cancer du sein. Il faut bien préciser
que dans ces études, les femmes avalaient des oestrogènes synthétiques ou d’origine
équine et des dérivés non bioidentiques de la progesterone - les gestagènes ou
progestatifs - qui n’étaient donc pas adaptés aux « serrures » du corps humain ! Une grande étude française avec 54'000 femmes publiée en 2005 a montré que ses risques
n’existent pas en cas d’application de progesterone bioidentique et d’œstrogène
Les hormones bioidentiques – progesterone et œstrogène naturelle (et aussi
testostérone, DHEA et autres)– remplissent dans le corps humain une multitude de
fonctions sans effets secondaires, si elles sont utilisées correctement. Contrairement à ce que la publicité essaie de nous faire croire, on ne peut substituer une hormone naturelle
LES DESEQUILIBRES HORMONAUX AVANT ET APRES LA MENOPAUSE Les hormones jouent un rôle essentiel dans la communication à l’intérieur du corps et
ont une multitude de fonctions. Elles ne sont pas ressenties si leur taux sanguin est
équilibré. Ce que nous remarquons, c’est les symptômes d’un déséquilibre hormonal. Ces déséquilibres peuvent apparaître chez la femme entre 30 et 40 ans déjà, secondairement
à une baisse de la progesterone et à une dominance en oestrogènes, ou suite à un autre dérèglement hormonal. On peut alors observer des irrégularités du cycle, des
saignements abondants, une tension dans les seins, une irritabilité ou d'autres
symptômes psychiques surtout avant les règles, une baisse de l’état général, des douleurs articulaires, un sommeil perturbé, des problèmes de concentration, un
épuisement psychique et physique, une baisse de la libido, une baisse de la force
musculaire, des troubles du rythme cardiaque, des fibromes utérins (myomes), des
kystes de l’ovaire, des kystes mammaires, des tumeurs bénignes du sein, une prise de poids ou une impossibilité de perdre du poids, une chute des cheveux, etc.
Bien après la baisse du taux de la progesterone, survient la baisse des oestrogènes avec
les symptômes typiques de la ménopause comme les troubles du sommeil, sudations nocturnes, vapeurs, troubles dépressifs, troubles du rythme cardiaque, ostéoporose, etc.
Tous ces symptômes sont le reflet d’un déséquilibre hormonal, le plus souvent d’une
dominance en oestrogènes, également à la ménopause. L’équilibre hormonal dépend d’une multitude de facteurs comme la génétique, le stress, le tabac, notre style de vie,
l’alimentation, l’activité physique et également des toxiques environnementaux (p.ex. les
xéno-oestrogènes dans les pesticides et les plastiques). Dans la plupart des situations,
un changement du style de vie et une substitution avec la progesterone naturelle est suffisante pour rétablir l’équilibre. Certaines femmes ont besoin en plus d’une petite
quantité d’oestrogènes et / ou de testostérone. Le but de l’hormonothérapie naturelle ou
bioidentique est de rétablir l’équilibre hormonal individuel.
Whilst pain is not conventionally directly linked with ataxia, it is still a real problem for manypeople. If not managed effectively, chronic pain may become as debilitating as ataxic symptoms. WHAT CAUSES PAIN? Because nerves are responsible for “carrying” pain signals, it is often assumed that any painassociated with a neurological condition is neurological in origin. This is not al
Otto-Friedrich-Universität Bamberg Allgemeine Pädagogik Seminar: Sexualpädagogik Dozent: Ralph Amthor Verfasser: Gudrun Bauer, Katrin Gebhardt, Daniel Freitag 30.3.2000 Die HIV-Krankheit – Krankheitsverlauf und Krankheitsbild .5 MEDIZINISCHE GRUNDLAGEN Einführung Anfangs der 80er Jahre wurde erstmals eine völlig neue Krankheit beobachtet. Diese Krankheit war AIDS , das